dimanche 31 mai 2015

Exposition "Paris ou Rome ?"

Voici les créations graphiques réalisées par les élèves de CM1/CM2. Ces productions sont exposées dans la galerie de l'école Jussienne :


jeudi 28 mai 2015

la settimana italiana

Martedi abbiamo cucinato le bruschette, il tiramisù e il salame al cioccolato. Abbiamo fatto tre gruppi : un gruppo ha fatto il tiramîsù con la signora Abbes, il secondo gruppo ha fatto il salame al cioccolato con la signora Paris, il terzo gruppo ha fatto le bruschette con la direttrice signora Bruneau.

Roméo : "Prima di fare il tiramisù non avevo voglia di mangiarlo, ma mentre lo fqcevo e ho visto che la crema sembrava buona, mi è venuta voglia di mangiarlo."

Guillemette: "Per me é stata una grande sorpresa il salame al cioccolato perchè non l'avevo mai mangiato;"
Inès: "Non mi piace il cacao, quindi pensavo che il salame al cioccolato non mi sarebbe piaciuto; ma poi l"ho mangiato e ho visto che era buono."

César: "Mi é piaciuto fare le bruschette, perché tutti facevano qualche cosa di differente, è stato molto simpatico. Mi è piaciuto mescolare gli ingredienti, la ricotta, i pomodori..."

Victorine: "Mi è piaciuto tagliare il basilico per le bruschette, che erano molto buone."

Matthieu: "All'inizio non osavo mangiare il tiramisù perché c'era del caffè, ma quando l'ho assaggiato mi sono reso conto che non c'era molto caffè, e cosi' il tiramisù mi è piaciuto tanto;"

Simon: "Quando ho cominciato a mangiare le bruschette, mi ha fatto venire voglia di mangizrne ancora, questo mi ha molto motivato e mi è piaciuto molto."

Gabriel: "Mi è piaciuto immergere i biscotti nel caffè per il tiramisù e sbattere il bianco dell'uovo con lo sbattitore elettrico;"

Baptiste: "Mi è piaciuto sbattere le uova con lo sbattitore elettrico."

Dylan: "Cucinare il tiramisù mi ha interessato perché montare i bianchi a neve è magico e mi è piaciuto mangiarlo. Invece non mi sono piaciute le bruschette alla tapenade e ai pomodori e ricotta."

Marisa: "Prima pensavo che le bruschette non mi piacessero perché pensavo che fossero con il pomodoro cotto ma invece erano pomodori crudi e mi è piaciuto."

Eléonore: "Pensavo di preferire il salame ma poi ho assaggiato il tiramusù e lo preferisco."

Fanny: "All'inizio Loredana ci ha fatto vedere le foto del salame al cioccolato e non mi piaceva, ma dopo ho visto tutti gli ingredienti, mi piacevano tutti, allora l'ho assaggiato e lo adoro!!!"

Julia: "quello che ho preferito è stato il salame al cioccolato perché non l'avevo mai fatto, e mi è piaciuto molto il momento in cui abbiamo schiacciato i biscotti e le mandorle."

Coralie: "All'inizio pensavo che il salame al cioccolato era un po' strano, ma quando la maestra di italiano ce l'ha spiegato ho riflettuto, l'ho assaggiato e mi è piaciuto; Le mie bruschette preferite sono con la ricotta e il pomodoro."

Olympe: "Quando ho fatto il salame al cioccolato pensavo che non mi sarebbe piaciuto, ma l'ho assaggiato e era molto buono. Prima pensavo che il tiramisu fosse una gelatina e mi è piaciuto montare i bianchi a neve. Preparare le bruschette è stato divertente, ma il mio npreferito è il salame al cioccolato."

Isaac: "Mi piace il tiramisù e le bruschette alla tapenade di olive."

Suzanne: " Quando ho assaggizto il salame al cioccolato ho trovato che era molto buono perché mi piacciono il cioccolato e le mandorle."

Léa: "Mi èpiaciuto molto schiacciare i biscotti nel salame al cioccolato."

Victor: "All'inizio quando Loredana ci ha detto che avremmo preparato un salame al cioccolato ero un po' disgustato, ma poi quando ho cominciato a prepararlo e a mangiarlo, è presto diventato il mio dolce preferito."

Joséphine: "Mi è piaciuto montare i bianchi a neve per il tiramisù e tagliare il pane a fette per le bruschette."

Satine: "Mi è piaciuto molto il salame al cioccolato perché mi piace molto il cioccolato e prima non avevo mai assaggiato il salame al cioccolato."

Sophia: "Ho trovato che il salame al cioccolato era molto buono, e mi è piaciuto farlo. Mi è piaciuto molto fare il tiramisu e mangiarlo con la classe."

samedi 16 mai 2015

L'architecture à Rome

Rome possède beaucoup de constructions célèbres comme le Colisée, le monument le plus connu. Il y a également de nombreux styles de maisons, notamment des maisons colorées en grand nombre.
Il y a des monuments qui ont la forme d'objets que l'on utilise chez nous, comme par exemple la machine à écrire : Altara Della Patria.

Les matériaux utilisés pour construire les monuments ou les maisons sont très divers tels que la pierre, le béton...

Les monuments les plus connus de Rome sont : le Panthéon, les Thermes ou l'Arc de Constantin. Les Romains ont construit des routes qui mènent toutes à Rome, d'où l'expression : "Tous les chemins mènent à Rome". En effet, quand les empereurs romains gagnaient des guerres et des terres, de retour à Rome, ils faisaient construire des monuments à la gloire de leur victoire, il y mettaient des gravures.
L'architecture Romaine, s'est déployée en Europe au Moyen Âge. Grâce aux colonnes les arcs peuvent tenir debout. On peut caractériser l'architecture romaine par la réinterprétation de la voûte romaine antique, généralement en plein centre ville. Les colonnes peuvent être de chapiteaux souvent sculptés avec des représentations d'animaux ou de plantes ou encore de symboles plus ou moins géométriques.
La terminologie "art romain" apparaît pour la première fois en 1818.
Les maisons de Rome ne ressemblent pas à celles de Paris qui sont très monotones.

Coralie - Guillemette - Marisa - Satine - Sophia

Le coliseum



De récentes découvertes suggèrent que le bâtiment aurait été financé par la campagne de Judée, et en particulier par le pillage du temple de Jérusalem.

Le Colisée est en partie détruit aujourd'hui, mais ce n'est pas à cause de l'usure du temps.
Les tremblements de terre ont quelque peu endommagé le bâtiment, mais il a surtout servi pour de nouvelles constructions dès le moyen-âge. (La basilique Saint-Pierre a par exemple hérité de ses pierres).

Histoire du Colisée

L’amphithéâtre était destiné à abriter les combats de gladiateurs.
Ce n’est qu’au Moyen Age que le bâtiment prît son nom actuel de Colisée, en raison de sa proximité avec une statue colossale de Néron.

Si les théâtres et les temples romains s’éloignent peu de l’esprit des temples et théâtres grecs, les arènes - dont le Colisée est l’exemple le plus abouti– sont tout à fait novateurs dans l’histoire de l’art.
Bien que très friande de ce genre de spectacle, Rome ne se dota de son premier amphithéâtre en dur qu’en 29 avant Jésus Christ, sous le règne d'Auguste. Ce premier édifice fut brûlé en 64 après J.-C., le Colisée était destiné à le remplacer.

Rome construisit son premier amphithéâtre bien plus tard que ceux de ses provinces, c'est peut-être en raison de la méfiance que Rome vouait à tous les lieux de rassemblement, susceptibles de devenir des foyers d’agitation.
En ce sens, la construction du Colisée pourrait être la marque de l’optimisme politique des empereurs, tranchant sur la vie politique de la République romaine.
Plus certainement, on sait que l’amphithéâtre fût en partie bâtit pour des raisons économiques : Vespasien, pourtant économe, voulait procurer du travail aux personnes ruinées par les guerres civiles plutôt que de les nourrir à ne rien faire.
Le gigantesque chantier débuta en 72, et ce sont les fils de Vespasien – Titus puis Domitien – qui achevèrent sa construction.

Son inauguration en 80 fût le prétexte à des Jeux grandioses, étalés sur cent jours, qui causèrent la mort de 5 000 fauves et de 2 000 gladiateurs.

Il pouvait accueillir entre 50 000 et 75 000 spectateurs. Il servit pendant près de 500 ans principalement pour les combats de gladiateurs, des exécutions publiques, des chasses d'animaux sauvages, des reconstitutions de batailles célèbres et des drames basés sur la mythologie.
Le bâtiment a finalement cessé d'être utilisé au cours du Moyen Âge. Il a plus tard été réutilisé pour des buts varié.

Le Colisée aujourd'hui...

La conversion des empereurs au christianisme, puis l’édit d’Honorius en 404, mettent fin à l’usage festif de l’amphithéâtre.
Au Moyen Age, il servit en particulier de carrière et perdît ses gradins, son plancher et une partie de sa façade.
Aujourd'hui, c'est devenu l'un des repaires favoris des chats romains.




Léa G. - Suzanne


Les arcs de l'Italie


L’arc de septime Sévère

L'arc de Septime Sévère date de 203 après J-C. Le Sénat érigea un grand arc à trois haches pour célébrer les victoires remportées par Septime Sévère sur les Parthes, une population de l’Asie Mineure.
Le monument grandiose fut constuit à l’endroit ou la Voie Sacrée començais sa montée vers le capitole et où se déroulaient les cérémonies finales du triomphe, les célébrations des généraux victorieux .L’arc est entièrement revêtu de marbre et, comme le montre la représentation sur une monnaie, il était surmonté de scultures en bronze : un char tiré par sept chevaux flanqué de statues équestres, allusions évidente au triomphe décrété par l’empereur.
Dans les reliefs de l’arc le même thème est traité dans la petite frise sur les deux mineures, où l’on aperçoit des chars chargés de trophées, de soldats, de prisonniers et une grande statue assise qui représente la province soumise.
Sur l’attique se trouve l’inscription dédicatoire : à la quatrième ligne le nom du deuxième fils de Septime Sévère, Geta, fut effacé par son frère Caracalla qui l’avait fait assassiner et en avait ensuite décrété la « damnation du souvenir » (damnatio memoriae).

L’arc de Constantin

L’arc de Constantin est un arc qui date du 28 octobre en 312 après J.-C.
A l’est du Colisée, l’arc de Constantin célèbre le triomphe de ce dernier après sa victoire sur Maxence, au Pont Milvius, en 312. Sa particularité tient au fait qu’il incorpore de nombreux éléments prélevés sur des monuments antérieurs dédiés à Trajan (8 statues de prisonniers Daces, en haut), à Hadrien (8 médaillons ronds avec des scènes de chasse et de sacrifice)


L’arc de Titus

L’arc de triomphe de Vespasion et de Titus, à Rome (81 après J.-C.).
Durant les premiers siècles de leur histoire, les Romains avaient l’habitude d’installer, à l’entrée des villes ou des forums, des portes en bois pour accueillir les soldats qui rentraient de guerre.
Ces portes ont été remplacées par des monuments célébrant les victoires militaires des empereurs. Le premier arc de triomphe de Rome a été érigé par l’empereur Octave-Auguste en 29 avant J.-C.


Gabriel – Jean-Baptiste - Victor

Castel Sant Angelo


Le Mausolée d’Hadrien

La tombe monumentale que l'empereur Hadrien voulut se faire construire sur la rive droite du Tibre, s'inspirait du Mausolée d'Auguste au champ  de mars. Pour relier l'édifice à la ville, Hadrien fit construire le Pont Hélios, utilisé encore de nos jours, bien que transformé et restructuré, et connu sous le nom de Pont Saint Ange.
Le monument consistait en un soubassement parallélépipédique (a) de 84 mètres de large et de 10 mètres de hauteur, surmonté d'un tambour circulaire d'un diamètre de 64 mètres et d'une hauteur de 20 mètres. L’entière structure était revêtue avec des plaques en marbre et en travertin et se terminait par un tumulus planté d'arbres et entouré de statues. Sur le sommet se trouvait un quadrige (b) en bronze avec la statue d'Hadrien. Pendant près d'un siècle, jusqu'à l'époque de Caracalla (c), le mausolée fut utilisé pour la sépulture (d) des empereurs.


Transformé en forteresse, il devint au Moyen Age le point fort du système de défense de Vatican, et fut employé également comme prison. Pendant la Renaissance, le Mausolée d’Hadrien prit le nom de Château Saint Ange, sous le nom duquel il est désormais connu, à cause de la statue qui fut placée sur le sommet du monument, à la place de celle d’Hadrien.



Les statues du Château Saint Ange

Une progression dramatique jusque vers l’archange Saint Michel qui, du haut du château se détache du ciel. Rengainant (e) son épée, cette gigantesque statue de bronze, sculptée au XVIIIème siècle par le Flamand Verschaffelt, n’est qu’une des nombreuses représentations de l’archange (f) guerrier qui apparut à Grégoire le Grand.
Une autre, plus ancienne, se dresse sur la terrasse du Château Saint Ange, qui justifie à trois titres au moins la visite :
Impressionnante rampe en spirale, symbole du Cosmos, qu’empruntaient les cortèges funèbres portant les cendres des empereurs
Somptueux décors des appartements des papes où coexistent (g) motifs sacrés et mythologiques (dont les amours de Vénus et Psyché)
Panorama extraordinaire depuis la terrasse immortalisée dans le dernier acte de Tosca de Puccini.

La rue menant au Mausolée d’Hadrien

Bordée d’élégantes résidences des XVème - XVIème siècles, elle est aujourd’hui jalonnée (h) de boutiques d’antiquaires (i) qui ont remplacé les vendeurs de chapelets (corone) et autres articles de piété (j) auxquels elle doit son nom. En chemin, ce n’est qu’une succession de charmantes surprises : madonelle (k), portes ornées de sirènes ailées ou de figures masquées, image du Rédempteur (l) en gloire (XVIIIè siècle, à l’angle du Palazzo Lancellotti) ou tabernacle (m) sacré agencé (n) en 1523 (à l’angle du vicolo Domizio). La rue débouche dans la via di Panico qui mène sur la droite à la Piazza di Ponte San Angelo, où se tenaient autrefois les marchés et les exécutions capitales.
La balade s’achève, ici, face au pont Saint-Ange, l’ancien pont Aelius (référence à Helios, le dieu du Soleil) construit par Hadrien pour servir de voie triomphale à son mausolée. Aujourd’hui englobé dans le château Saint Ange, le mausolée d’Hadrien formait un tambour de 64m de diamètre, sur une base carrée de 89 m de côté.

Une rampe hélicoïdale (o) dont la structure subsiste, menait en pente douce à la chambre sépulcrale qui accueillit les cendres d’Hadrien et de ses successeurs jusqu’à Caracalla.



(a) Parallélépipédique : se dit d’une forme qui ressemble à un parallélépipède
(b) quadrige : char à 2 roues tiré par 4 chevaux
(c) Caracalla : Empereur de Rome
(d) Sépulture : lieu où l’on enterre des personnes mortes
(e) Rengainant : rangeant
(f) L’archange : chef des anges
(g) coexistent : exister en même temps
(h) jalonnée : elle est plein de boutiques
(i) antiquaire : commerçant spécialisé dans la vente et l’achat de meubles et objets d’art ancien
(j) piété : article religieux
(k) madonelle : relatif à la vierge
(l) rédempteur : celui qui rachète le pêché
(m) tabernacle : petite armoire dans les églises
(n) agencé : installé
(o) hélicoïdale : en forme d’hélicoptère

Eléonore.

jeudi 14 mai 2015

Les dieux de Rome


Les dieux Romains
Les dieux romains étaient inspirés de ceux des Grecs mais avec des noms différents.
En plus des cérémonies religieuses célébrées en public devant les Romains qui pratiquaient régulièrement chez des rites pour honorer leurs dieux.
Dans chaque maison romaine, un lieu sacré le lararium (laraire), autel avec deux colonnes était réservé à ces dieux.
Chaque famille avait ses dieux Pénates et son dieu Lare, protecteur du foyer.
Les Pénates protégeaient la famille en assurant la conservation de la nourriture.
Le Lare, lui, étaient l’esprit protecteur de la maison, de l’espace dans lequel vivait la famille.
Les Romains considéraient également les Mânes, comme devins. Ces esprits étaient à la fois vénérés et redoutés.
Ils étaient fêtés lors des Parentalia, tous les ans au mois de février. A cette occasion, Chaque famille s’occupait de ses morts en apportant sur les tombes des offrandes.

Les dieux de l’Olympe Gréco-Romains



  1. Jupiter (grec : Zeus) : Le dieu des dieux. C'est le dieu du ciel et le maître de la foudre (Aigle, sceptre, foudre)
  2. Junon (grec : Héra) : Épouse de Jupiter. Elle protège les femmes et est la déesse du mariage. (Paon, diadème)
  3. Mars (grec : Arès) : Fils de Jupiter et de Junon. Coiffé d'un casque et armé d'une lance, c'est le dieu de la guerre. (Casque, armure, bouclier, épée)
  4. Vénus (grec : Aphrodite) : Sœur de Jupiter, c'est la déesse de l'amour et de la beauté. (Colombes, cygne, myrte, nudité)
  5. Pluton (grec : Hadès) : Frère de Jupiter, il règne sous la terre. C'est le dieu des Enfers. (Trône, sceptre, Cerbère)
  6. Neptune (grec : Poséidon) : Frère de Jupiter, c'est le dieu de la mer. Il se déplace sur les flots dans un char en tenant dans sa main un trident. Il protège les marins. (Trident, dauphin, taureau, cheval)
  7. Mercure (grec : Hermès) : Fils de Jupiter, c'est le dieu des marchands. C'est aussi le messager des dieux. Il porte des sandales ailées qui lui permettent de transmettre très vite les messages des dieux. (Sandales ailées, casque)
  8. Minerve (grec : Athéna) : Fille de Jupiter, c'est la déesse de la sagesse et de l'intelligence. Elle est sortie toute vêtue de son armure du crâne de Jupiter. (Bouclier, lance, chouette, olivier)
  9. Apollon (grec : Apollon) : Fils de Jupiter et frère jumeau de Diane. C'est le dieu des arts. (Soleil, lyre dorée, flûte, arc)
  10. Diane (grec : Artémis) : Fille de Jupiter et sœur jumelle d'Apollon. C'est la déesse de la chasse. (Arc doré, flèches argentées, croissant de lune)
  11. Vulcain (grec : Héphaïstos) : Fils de Jupiter et de Junon, époux de Vénus. Il est sorti de la cuisse de Jupiter. C'est le dieu du feu, des volcans. Il est représenté comme un forgeron boiteux. (Marteau, enclume)
  12. Bacchus (grec : Dionysos) : Fils de Jupiter. C'est le dieu du vin. Les Romains l'honoraient à travers des fêtes appelées bacchanales durant lesquelles ils s'enivraient. (Vase, sceptre, grappe de raisin)
  13. Vesta (grec : Hestia) : Sœur de Jupiter. C'est la déesse du foyer. Elle était servie par des jeunes romaines, les vestales qui devaient veiller sur le feu sacré dans le temple de la déesse. (Feu sacré)
  14. Cérès (grec : Demeter) Sœur de Jupiter. Déesse de l'agriculture, de la moisson et des saisons et de la fécondité. (Épi de blé, faucille).

Les fonctions du Panthéon

L’intérieur du Panthéon, le temple de « tous les dieux », à Rome (IIème siècle).

Le Pontifez Maximus (Grand Pontife) était le chef de la religion romaine. Il présidait le collegium pontificum (le collège des pontifes) regroupant les prêtres chargés de rédiger les formules religieuses,les documemt religieux...

Le Grand Pontife nommait les famines, les prêtres spécialisés attachés chacun au service d’un dieu.

Les romains n’obligeaient pas les peuples étrangers à croire en leurs dieux... Ils adoptaient même sans difficulté des dieux venus d’ailleurs comme Isis et Osiris (Egypte), ou Mithra (Perse)...

Le dieu unique des juifs et chrétiens était lui aussi toléré, à condition que juifs et chrétiens acceptent également de reconnaître l’empereur comme un dieu.


Giorgio-Nkôni.

Le panthéon


Construction
Le Panthéon a été construit entre 27 et 25 avant J-C.
Il fut reconstruit deux fois car les deux premiers ont été ravagés par des incendies. Le dernier fut reconstruit par l’empereur Adrien. Le bâtiment a tenu 2000 ans jusqu'à aujourd'hui. A l’heure actuelle, c'est un temple.

Histoire
La coupole du Panthéon reste la plus grande jamais réalisée  depuis le XIème siècle.
Le trou au centre de la coupole est un oculus. Cette ouverture (large) est la seule par laquelle la lumière entre.
Le nom du Panthéon est issu de l'adjectif grec Pantheion qui signifie «de tous les dieux».
A l'origine le Panthéon était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique.
Il a donné son nom à un quartier de Rome.

Les personnages célèbres
Depuis la renaissance, le Panthéon est utilisé comme tombeau. On y trouve Raphaël (un peintre) ou encore Victor Emmanuel 2 et Umberto premier (deux rois d'Italie).




Le Panthéon est désormais une église où l'on célèbre encore des messes et des mariages.


Matthieu.

Les colonnes




La colonne Trajane
La colonne trajane (en latin : « columna trajani ») impressionnante avec ses 29,78 m de hauteur à été érigée pour célébrer deux campagnes victorieuses de l'empereur Trajane contre les Daces lors des deux guerres Daciques. Cette colonne triomphale romaine est située sur le forun de Trajane à Rome. Elle est célèbre pour le bas-relief qui s’enroule en spirale autour de son fût.






La colonne Marc Aurèle
La colonne Marc aurèle l’obélisque de la piazza della Rotonda à été érigé à Héliopolis, en Egypte, par le pharaon Ramsès, il y a plus de 3000 ans. Elle atteint une hauteur de 30 m (100 pieds). Le monument est formé de 19 blocs circulaires superposés. Cette colonne commémorative a été dressée à la gloire de l’empereur Marc Aurèle, après sa mort.
Elle est couverte de scènes sculptées qui racontent les expéditions militaire de l’empereur à la fin du IIème siècle.

Le très haut soubassement est décoré d’une frise avec des Victoires et une scène de soumission de barbares fut démolie en 1589 sur l’ordre du pape sixte V, qui fit également remplacer la statue de l’empereur placée au sommet de la colonne par celle de Saint Paul.
Baptiste.

Les thermes et l’eau de Rome


Rester propre
Il y avait des bains froids chauds et à vapeur les esclaves chauffaient l’eau grâce au feu. Il y a eu jusqu’à 900 thermes à Rome. Les romains riches ou avec peu de moyens, y allaient tous les jours car l’entrée était gratuite ou pas très chère. Les romains de tous âges adoraient les thermes et aimaient se baigner.
Les romains PASSAIENT EN MOYENNE DEUX HEURES PAR JOUR, MÊME L’EMPEREUR Y ALLAIT, LUI AUSSI. IL FAISAIT EGALEMENT DU SPORT (Haltères, lutte, course…).

Le pouvoir de l’eau
Le système de canaux de l’antiquité romaine était très ingénieux. L’eau issue des sources et de la fonte des neiges était captée puis dirigée vers des conduits et des tuyaux qui la transportaient sur de longues distances. C’est notamment parce qu’ils ont su approvisionner les villes en eau douce que les Romains ont pu bâtir un tel empire !

Donner de l’eau
L’eau qui s’écoule en permanence des nasoni (1) est toujours fraîche et délicieuse à boire. Pour avoir l’air d’un vrai romain, fermez l’orifice (2) du doigt et vous verrez jaillir l’eau par un petit trou sur le dessus de la bouche, beaucoup plus pratique pour boire !


(1) nosoni : robinet en forme de nez
(2) orifice : trou où sort l'eau


Guillemette, Marisa, Satine.

L' île du Tibre


La tradition(1) antique voulait que l' Île du Tibre ait été formée lorsque le peuple, après avoir chassé le dernier roi, Tarquin le Superbe, jeta dans le fleuve les gerbes de blé provenant du chant de mars qui avaient appartenu au roi  fugitif(2).

En réalité, l’île s'était formée bien plus tôt et de façon tout à fait naturelle en un point où le lit du fleuve s'élargit et où la force du courant est atténuée(3). L’île a eu, depuis les temps les plus anciens, une importance considérable(4), parce qu’elle facilitait le passage du Tibre et assurait la continuité des routes. Elle servait de trait d’union entre les régions méridionales (sud) et septentrionales (nord) de la bande  côtière tyrrhénienne ; cette position stratégique a été l’une des causes déterminantes de la fondation de Rome. D'abord protégée par un grand mur, on rectifia ensuite ses contours de façon à lui donner artificiellement la forme d’un navire ; un petit obélisque en son centre, à la manière d’un mât, accentuait encore davantage cette ressemblance. 
En 291 av. J-C, le Temple d’Esculape, dieu de la médecine, y fut fondé,et depuis lors, l’île prit un caractère sacré lié au culte de ce dieu et à la pratique de la médecine. 

Vers la fin de la république, l’île du Tibre fut reliée à la terre ferme par deux ponts : le Pont Fabricius, construit en 62 av. J-C est toujours intact et le Pont Cestius, construit en 46 av.J-C fut entièrement rebâti.











(1)Tradition : coutume, usage qui se transmet de génération en génération.
(2)Fugitif : Qui ne dure pas
(3)Atténuer : Rendre moins fort, diminuer
(4)Considérable : Très grand, très important
Joséphine, Julia, Victorine.

La piazza Navona





Cette place a franchi les siècles en conservant sa forme de stade antique. Elle devint le théâtre de la Rome baroque à l’époque du pape Innocent X (1644-1655) et fut le le cadre de toutes les plus belles fêtes du XVII ème siècle.




Elle est, hélas, aujourd’hui dénaturée par les petits commerces sans âmes qui l’envahissent à longueur d’année. 



Pour apprécier sa beauté, il faut s’y promener la nuit ou juste après la pluie qui fait fuir la foule et luire les pavés. C’est alors qu’on découvre le charme de sa forme oblongue, soulignée par ses trois majestueuses fontaines. Elle est entourée d’une harmonieuse diversité de palais baroques et de maisons colorées.



Le bernin et Borromini s’y retrouvent face à face.

César, Coralie, Sophia

Il Circus Maximus


Le Circus Maximus n’était pas une grande tente où se produisaient des clowns et équilibristes. C'était une piste pour les courses de chars, de plus de 600 mètres de long (le plus grand cirque de l'empire romain), sport très en vogue et terriblement dangereux de l'Antiquité.


 Les chars, conduits par un aurige (conducteur de char de course), étaient généralement des quadriges (char antique à deux roues, attelé de quatre chevaux de front, utilisé comme véhicule d'apparat, puis pour les courses). Ils portaient les couleurs d’une des quatre « factiones » : bleu, vert, blanc ou rouge. Le départ était donné par l'organisateur, en général un magistrat.
Autour de la piste, 250 000 « fans » pouvaient prendre place (plus du triple de la capacité d’accueil du Stade de France!)
Aujourd'hui, c'est juste un champ désert  où viennent parfois courir des joggeurs.


Construit autour de 86 après J-C pour les jeux grecs, le stade avait une longueur de 275 mètres. Il fut transféré par les papes respectivement sur la piazza del Popolo et la place du Latran.

César, Coralie, Sophia.